jjwaDal marcoB12 25 septembre 2008 10:15

On utilise toujours le référentiel le plus approprié et je nous vois mal repérer les avions dans le ciel
en fonction des constellations (la latitude, longitude, altitude et vecteur vitesse me semblent plus
pertinents...).
Quand on recherche des signes de présence ET on les recherche par définition partout en n’omettant
pas les endroits où il semble y avoir des indices.
Je crois surtout que les astronomes sont mal à l’aise dans cette affaire pour de multiples raisons bien
connues : l’hypothèse d’une présence étrangère sur Terre est en soi extraordinaire quand on n’y a pas
consacré une longue réflexion. Ils peuvent légitimement penser que l’évolution d’engins
volants dans l’espace aérien relève des militaires (qui ont accès aux données exploitables)
et que le pouvoir politique n’ayant pas demandé de l’aide, il ne se passe rien.
La plupart des cas d’ovnis sont explicables de façon prosaïque (faible rapport signal/bruit, de l’ordre
de 0,2 si on en croit Blue Book SR n°14).
Surtout le refus de divulgation par les services ayant accumulé des données exploitables, ce qui
est systématique aux USA. Des FOAI se sont heurtées soit à des refus, soit des documents passés
au "blanco" soit des archives disparues... et cela pour des documents parfois vieux de 50 ans.
Or il est notoire que les scientifiques habitués à se confronter à une nature qui ne ment pas sont par
formation inaptes à se coltiner le monde militaire et politique ou le mensonge prévaut sur la réalité...
Si une présence étrangère était avérée (sans communication) seule une approche pluridisciplinaire
serait à même de nous aider à gérer ce problème et des astronomes ne seraient pas particulièrement
utiles (vu les implications politiques, militaires, etc...).
Je concède que les astronomes ne sont pas outillés pour gérer l’hypothèse d’une présence étrangère
sur Terre maintenant. Certains de leurs collègues le seraient plus.


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