frédéric lyon 28 octobre 2008 23:58

Je suis désolé mais je voulais poster mon message ici.

La copie de ce texte posté plus haut peut être supprimée, elle fait double-emploi :

Au titre des ravages causés par l’interventionnisme et le "régularisme", autrefois Marxien et aujourd’hui reconverti en Keynesiannisme, puisque faute de grives on en est réduit à manger du merle, voici la description de la crise financière que nous venons de connaitre, que vous ne trouverez nulle part dans la presse française :

1) Les gouvernements américains ont souhaité encourager l’accès à la propriété immobilière des classes pauvres de la société américaine, en particulier les minorités ethniques.

2) Pour encourager cet accès à la propriété, les gouvernements américains ont inventé un dispositif pour inciter les banques à accorder des crédits hypothécaires aux ménages pauvres. Les incitations étant distribués aux banques par deux institutions publiques, Fanny Mae et Freddy Mac, chargées de contregarantir ou de refinancer ces crédits hypothécaires.

3) Comme les engagements que prenaient Freddy et Fanny pesait sur les ratios d’endettement de l’Etat Fédéral (puisque Freddy et Fanny étaient des institutions publiques ont réintégrait de façon tout à fait normale leurs engagements dans les engagements de l’Etat Fédéral), les gouvernements américains (Johnson, démocrate, puis Nixon, républicain) ont privatisé Fanny et Freddy !

4) Le marché de l’immobilier se retourne, les taux d’intérêts des crédits se tendent, bref les marchés évoluent comme c’est leur destin, et les débiteurs deviennent insolvables.

5) Les banques font jouer les contragaranties, Freddy et Fanny, société privées, sont mises en faillite. L’Etat s’étant opportunément défilé avant la catastrophe.

6) Les banques prennent tous les mauvais crédits dans la tronche, entretemps pour étaler leurs risques ces mauvais crédits ont été mélangés à d’autres actifs de meilleure qualité par titrisation.

6) Ces titres deviennent tous suspects, or ils figurent dans tous les bilans de toutes les institutions financières, y compris les banques qui commencent à se suspecter entre elles sans pouvoir mesurer la grosseur de la casserole attachée au cul du voisin.

7) Les banques cessent de se prêter de l’argent sur le marché monétaire entre banques. Certaines banques sont prises en défaut de liquidité et menacent de cesser de faire du crédit à leurs clientèle. D’autres sont carrément en cessation de paiements et doivent être soutenues en catastrophe.

8) La banque centrale doit se substituer aux banques sur le marché monétaire et alimenter tout le monde en créant de la monnaie.

9) L’Etat doit trouver des solutions d’urgence pour récupérer les banques qui sont en cessation de paiements à cause d’une dévaluaton trop importante de leurs actifs due à une trop forte exposition aux crédits hypothécaires.

9) Dans un certain nombre de cas, l’Etat est obligé de prêter à long terme, ou de prendre des part de capital.

10) Mais l’Etat n’a pas de rond, son budget est en déficit.

11) L’Etat emprunte donc........aux institutions inancières qui sont restées saines, l’argent nécessaire pour intervenir auprès de celles qui ont du plomb dans l’aile.

Conclusions :

1) L’Etat a créé une catastrophe, qu’il répare avec des emprunts.

2) L’Etat auraient mieux fait de s’occuper de ses oignons et de ne pas se croire obligé d’intervenir sur le marché de l’immobilier et des crédits hpothécaires. Sauf à y intervenir avec ses PROPRES DENIERS, en supposant qu’il ait encore du crédit, ou des moyens budgétaires, en aidant les ménages pauvres directement et en ASSUMANT TOUTES LES CONSEQUENCES. Ce qui supposait probablemnt une aide à fonds perdus.

Et voilà comment se résume une affaire qu’on nous présente comme une crise du "capitalisme financier" dans toute la presse.

Autres conclusions :

1) L’Etat est un escroc et un menteur.

2) La Presse s’en fait le complice sans aucun état d’âme.

3) Ceux qui croient à leurs calembredaines sont de beaux naïfs.

Il est plus que temps que nos sociétés retournent dare-dare aux principes fondamentaux de l’Economie de Marchés, et que l’Etat cesse d’intervenir sur les différents Marchés avec de l’argent qu’il n’ a pas, au nom d’un "intérêt général" qui n’existe pas.



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