Le péripate Le péripate 29 octobre 2008 11:14

 Voilà que je suis votre pauvre maintenant !
Bon au delà les intentions que vous me prêtez, je redis : la question n’est pas tout état, ou pas d’état, mais de tracer fermement les limites de l’état, limites à l’intérieur il est fort, et limites à l’extérieur desquelles il n’est rien.
Et ceci parce que abolir l’état, aujourd’hui, ne pourrait être que le résultat d’une violence par nature non libérale. C’est, en quelque sorte, la dernière chance de sauver l’état, puisque vous y tenez. Continuez à tout lui demander, et c’est vous qui préparerez son effondrement, son implosion.


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