Bois-Guisbert 8 novembre 2008 22:51


Gaston Monnerville était un homme politique brillant et charismatique. La couleur de sa peau n’a jamais été un obstacle (ni d’ailleurs un avantage) pour qu’il arrive aux plus hautes fonctions de la République.

Cela montre simplement qu’à l’époque le noir n’était pas à la mode et personne ne lui faisait allégeance pour bien montrer son ouverture d’esprit et son absence de préjugés.

Ce qui vraiment poilant, c’est qu’en ce temps-là, tout le monde, même les manuels scolaires, parlait de nègres et des termes comme bamboula, négro, cafard, moricaud, blanche-neige, macaque, goudronneuse (argot militaire) étaient fréquents dans le langage courant...

Mais, à ma connaissance, le président Monnerville n’a jamais subi la moindre raillerie du fait de la couleur de sa peau. Le problème semble donc bien lié à la surpopulation africaine et à la perception de l’Africain en tant qu’étranger, intrus, envahisseur donc indésirable*...

Un jour nous aurons notre Barak Obama

C’est très peu probable… Aux Etats-Unis, l’afroricain est perçu comme une composante démographique normale. En France, c’est un importun à qui on demande de quel pays il vient.


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