ddacoudre ddacoudre 8 décembre 2008 00:30

bonjour cadène

je dirais que nous renouons avec un état policier, qui dispose de plus de moyens d’investigations. 1968 avait marqué une certaine rupture avec le tout policier dont l’appogé se situe avec l’abolition de la peine de mort. depuis lors nous entreprenons une marche errière, non pas qu’il n’existe pas des crimes et délits, mais nous avons accru leur nombre en légifèrant toujours plus de lois drastique pour compenser la réduction de la "morale ou de l’éthique" qui ne fait pas bon ménage avec d’une part le commerce et d’autre part la misère et la pauvreté.

La dessus il faut y ajouter les problèmes liés à la surpopulation qui ne manqueront de se faire que plus cuissant au fur à mesure que la population croit et se concentre dans les villes.

De plus l’avenir ne peut être que conflictuel puisque nous ne pourrons plus compter sur la croissance qui’ est à l’origine du bien être qui profite à tous.

ceci poussent les gouvernants à instaurer des forces de polices dissuasives, ou comme tu le dis faite pour exercer une pression spychologique de peur. le renouvellement vestimentaire de la gendarmerie en a été une référence probante. fini le gendarme à l’allure bon paternel, place au casseur de couille avec rangers aux pieds (caricature), et les contrôle routier sont un exellent exercisse pour assure une présence quasi constante des forces de polices visibles et acceptées par l’accoutumance. (la problèmatique est plus difficile que l’approche que je présente)

la dégradation de la citoyenneté engendré par le "libéralisme" (individualisme mercantile et égoïste) mal compris en a été un facteur d’accélération qui s’est trouvé des boucs émisssaires au travers des problèmes sociaux qui touchent toujours les derniers de la stratifications sociale représenté par les maghrébins dans des zones concentrationaires et la lutte anti térroriste des opposants à l’occident.

j’ai eu l’occasion d’écrire qu’il faut CINQ facteurs pour que se développe une société fascisante nous en avons mis sur pieds 4 sur 5, le dernier qui enclanchera le processus est une situation de guerre.

mais il y a de grande chance que ces cinq facteurs élaborés à partir de situations connues, nous ne les reconnaissions pas car les situations sont différentes des périodes ayant servies à leur élaboration.

partant de ce raisonnement il y a de forte chance que la population y soit favorable et c’est donc elle qui nous fera franchir le pas le moment venu, comme c’est elle qui accepte par peur bien orchestré toutes les restrictions liberticides misent en place par ce gouvernement.

cordialement.


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