spartacus1 spartacus1 12 février 2009 11:30

Je lis dans l’article :

"le quotidien Der Spiegel, véritable institution au-delà du Rhin, ne manquant pas une occasion de railler Nicolas Sarkozy depuis son élection en le présentant tel un monarque entouré d’une camarilla de courtisans. Encore plus incompréhensible : la collusion affichée du Président avec les hommes d’affaires hexagonaux, sans réaction notable de la population Française (le séjour sur le yacht de Vincent Bolloré ayant provoqué une réelle stupeur dans les médias Allemands)."

Mais le Spiegel ne fait que de décrire la réalité, ce qui est consternant c’est qu’il existe encore de français pour ne pas voir cette réalité.



De même :

"critiques tenaces concernant la libération des infirmières Bulgares en Libye, au seul profit du couple présidentiel Français, passant sous silence les approches Européennes préalables et offrant à ce pays d’Afrique du Nord la possibilité de se doter du nucléaire civil (question d’autant plus épineuse que Siemens était encore dans le groupe Areva NP à l’époque)."

Sarko arrive après que la plupart du travail ait été fait dans le cadre de l’UE et, tel la mouche du coche, il se vante d’être le seul à arriver à une solution.



Encore :
"répugnance de la Chancelière envers les manières quelque peu cavalière de son homologue Français et son approche trop leste des dossiers d’importance."

Je n’est pas un amour immldéré pour les positions politiques de Merkel. Mais on doit bien constater qu’elle fait plus que de parler. Sarko, lui, en dehors d’effets d’annonce et de verbiages, il n’y a que du vide.


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