Montagnais .. FRIDA Montagnais 24 février 2009 19:35
A Arminius.
 
Merci pour votre réponse et pour les ménagements pris.. Oui ! Oui ! 45 la démo, pas 44.. Céline lui-même ma confirmé : 45 ! Notez quand même que les gaillards de la Division Charlemagne, pour ne citer qu’eux, n’avaient ni 14 ni septante ans dans Berlin pour affronter les Bolcho’s en myriades.
 
Ah ! Autre chose encore :
 
Les infos sur le rôle des RPzB.54 et les victoires auxquelles ils auraient été associés, sur l’ensemble du Net, ne sont pas légions. Rien trouvé d’équivalent à ce qui suit par exemple :
 
"Le 16 avril 1945 à Neuköln, aidés d’un char Königstiger et d’éléments des Jeunesses hitlériennes, ils détruisent une soixantaine de chars russes"
 
"Wilhem Weber, Obersturmführer, chef de la Kampfschule de la division Charlemagne, surnommé par ses hommes « cyclone », il a commandé la compagnie d’honneur lors des combats de Poméranie. Il détruisit à lui seul à coup de panzerfaust 13 blindés entre la place Belle-Alliance et la Chancellerie de Berlin"
 
On peut même émettre quelques doutes sur leur fabrication chez Dassler en 44 - 45.

L’article de Wikipedia sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Adidas ne précise rien à ce sujet et dit notamment : "D’ailleurs pendant cette période, l’entreprise n’a du son salut qu’aux commandes de l’armée allemande (chaussures et bottes pour les soldats)."
 
Raison insuffisante dira-t-on. Certes.
 
Mais, une autre source, étonnante de connaissances elle, liste les entreprises ayant fabriqué le Panzerscherck : "Panzerschreck weapons were produced by the following companies : Enzinger Union in Pfeddersheim, Gebrüder Scheffler in Berlin, HASAG in Meuselwitz, Jäckel in Freistadt, Fa. Kronprinz in Solingen and Fa. Schricker in Fürth-Vach."
 
 
Pas de Dassler.
 
En revanche, les seules sources liant Dassler à la fabrication du RPzB semblent toutes dater de 2009, et sortir toutes du Spiegel on line (ou pas...), même les photos :
 
 
Surprenant non ?
 
"Moscou serait tombé si les Allemands avaient eu le RPzB"...
 
Pas de raison de s’arrêter, une illusion sans désillusion devient une réalité. L’histoire se tisse de légendes. Mais ce qui reste de la famille Dassler, eux ? Ils en pensent quoi ?

Ah ! Berlin et son Quartier Napoléon..

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