skirlet 18 mars 2009 02:37

Arunah, en reprenant votre style, sachez que Pouchkine n’a pas appris le russe uniquement avec sa nounou (ou няня, comme vous le précisez  smiley ) Son père était assez connu parmi l’aristocratie par ses poésies en russe, son oncle brillait avec ses pamphlets et calembours (toujours en russe), sans parler de la grand-mère, pour laquelle le français était, disons, non dominant. Oui, le français était à la mode, mais ce ne sont pas les écrivains russes ayant écrit en français qui sont restés dans l’histoire. Une copie vaut toujours bien moins que l’original.

La culture ne se limite pas à l’anglais et les écrivains anglophones, alors que chacun apprenne une langue de son choix. Sans oublier les traductions qui nous font découvrir plus de cultures que des langues que nous pouvons apprendre.

Je ne commenterai pas votre description de l’espéranto, car votre ignorance du sujet est évidente, mais, pour répondre à votre question, j’aime les fraises fraîches, en compote, séchées, en confiture etc., et je vous rappelle que la plupart des fraises se trouvant sur le marché sortent du labo... comme l’espéranto, quoi smiley


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