Julie Dep Julie Dep 9 mai 2009 13:41

@Emile Mourey
Il s’agit ici d’une parole non respectée, le prix du domaine, ridiculement bas, étant justifié par la présence de ces gens qui - précisons-le - campent à l’écart, de longue date, se sont fait construire des chalets avec la bénédiction de la Préfecture et demandent pour partir l’indemnité nécessaire à leur survie.

« Ces merveilles que sont les châteaux de France » étaient à l’origine plus ouverts qu’on ne le pense. Alain Duménil, qui s’est déjà illustré en tant que patron par son mépris des gens précaires, pouvait refuser le marché. Il a préféré donner à des mercenaires prêts à tout l’argent nécessaire aux campeurs pour partir. C’est ignoble. Et pas malin, car ce genre d’excès pourrait se retourner contre le domaine et le propriétaire.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe