armand armand 21 juillet 2009 11:36

Hé oui, depuis sa sortie de l’« Etat de nature » l’espèce humaine fonctionne par interdits. Et d’ailleurs les sociétés dites ’primitives’ ont beaucoup plus de tabous que nous.
Sinon c’est chacun pour soi pour se protéger et tenter d’éliminer ce qui ’dérange’.

Le risque actuel, en revanche, c’est que ce souci s’étende à des vétilles ou des micro-phénomènes dans une judiciarisation extrême de la société.

Ainsi, peu de procès en diffamation jadis - en revanche, le prolo cassait la g...le à celui dont il s’estimait diffamé, le bougeois lui collait une baffe et l’attendait le lendemain matin sur le pré.
Etait-ce préférable ?


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