Docdory, tout empêche les magistrats de prononcer la sentence requise. C’est l’un des objets de ce papier. Les incantations dénégatrices n’y peuvent mais. Moi, j’aimerais qu’un juriste se manifeste pour m’assurer qu’une intervention divino-présidentielle chanerait la donne, mais comme vous le savez, je suis fort mécréante. Et plus sérieusement, si rien n’advient d’ici moins de vingt jours, les dés sont jetés.