@ goc. Je souscris à votre analyse lucide. Mais tout le problème (immense) est de trouver la définition d’un mouvement progressiste clair. Actuellement, si l’on tient compte de la cacophonie insoutenable qui règne, aucun texte ne peut émerger, aucun véritable « leader » intellectuel ne peut apparaître.
Il faudrait une « fulgurance » d’idée et de bonhomme (homme ou femme bien sûr), relayée par les merdiatiques pour faire émerger la nouvelle politique. Mais « nul sinon écho ne répond à ma voix ».