Nobody knows me Nobody knows me 26 novembre 2009 14:12

Finalement, c’est une source d’espoir inépuisable de voir que, même sous des régimes autoritaires et intolérants, la vie continue son petit bonhomme de chemin et la population s’arrange finalement pour braver les interdits en privé.
« Persepolis » de M. Satrapi en parle : les soirées rock’n roll de ses parents avec alcool à gogo dans la cave, les ventes de cassettes audio interdites dans la rue, les t-shirts de punk sous le voile.
Je doute néanmoins que l’Iran soit la pire dictature du monde.

Cdlmt


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