ddacoudre ddacoudre 28 novembre 2009 21:55

bonjour QL

je crois que le sujet est traité comme toujours par une presse qui s’intéresse plus aux retombées médiatiques.

personnellement je n’ai jamais vérifier de visu si la température augmenté je n’en ai pas les moyens, mais quand je circule dans certaines zones je me rend compte de l’odeur qui flotte dans l’air que ce soit à la Mède ou la ZI de Lyon, ou quand je travers les tunnels autoroutiers autour de Gêne.
le nihilisme du réchauffement en devient grotesque, nier que nous participons à l’augmentation du Co2, pour ne parler que de celui-ci est du même niveau que nier la rotondité de la terre.
que l’on se chamaille sur la réelle part de nos actions, soit, mais c’est comme la goutte qui fait déborder le verre, tant qu’on ne la verse pas le liquide ne se répand pas.

vous pensez quoi, que c’est chacun d’entre nous qui est capable de s’en rendre compte individuellement, que les images satellites des pôles sont des constructions « complotistes ».

la situation alarmiste avec tous les projets plus farfelus les uns que les autres ont et je suis d’accord la dessus un intérêt économique, et nous pouvons parfaitement nous adapter à un réchauffement planétaire, comme à un refroidissement, cela déplacera des hommes et des cultures point.
pour la pollution, il en est de même si nous causons la disparition de milliers d’espèces, en quoi sommes nous responsable de la vie sur terre, sommes nous chargés de conserver la vie en l’état, alors que nous ne cessons de répéter que l’existence est une lente évolution, pour qu’il y ait évolution il faut bien que l’environnement change et que la vie s’y adapte.

QL vous auriez posé la question sous cet angle, cela aurait été une véritable interrogation existentielle.

mais peut-être que pour les journalistes cela n’est pas à leur porté.
lorsque l’on tombe l’on se soigne, y aurait-il une contre indication à protéger son existence, et celles de ceux dont l’on dépend, contre une vision du long terme qui ne peut être perçu individuellement mais qu’au travers de l’étude scientifique,
heureusement qu’ils sont là, sinon nous mourrions sans savoir ce qui nous atteint. bien que de le savoir n’arrête pas la mort, mais la recule.

cordialement.


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