eric 29 avril 2010 10:08

Sujet passionnant parce qu’il permet de toucher un peu du doigt les aspects le plus souvent cachés de la société, de l’existence. Comme les ventes de pay per view dans les hôtels en son temps par exemple. Ainsi on découvre la fascination des américain pour la « féminitude » ou la « masculinité » étrangère et cela pose plein de question sur l’état actuel des rapports hommes femmes aux EUA.
L’université de Toulouse le mirail donne quelques aperçus sur le phénomène, mais très convenus et politiquement correcte ( en gros, c’est la faute de macho qui ne supporterai pas l’émancipation féminine des capitalistes et... de Sarkozy...).
Je me souviens que dans les début de l’internet, non seulement le X était le plus gros générateur de trafic, mais proposait aussi les seuls sites qui gagnaient de l’argent.
Il fut un temps, comme le dit l’article, ou était proposé de courts extrait, les films eux mêmes étant payants.
J’ai regardé, et effectivement quelque chose à changé. Désormais, l’ensemble de toute la production possible, passée et présente est disponible in extenso, et pas seulement de cours extraits, sur le net en accès direct et gratuit. On a du mal à comprendre le modèle économique. Il est parfois proposé de payer pour une éventuelle meilleure qualité, mais celle ci est déjà très correcte et tant sur le fond que dans la forme, la qualité du porno.... En revanche, si il n’y a pas de pub commerciales, malgré l’importance du trafic, il y a des pubs pour des rencontres.
Je ne vois qu’une explication, qui serait que tous ces films sont mis en ligne comme produits d’appel pour de la prostitution. (mais si quelqu’un a une autre idée, cela m’intéresse). Mais je n’ai pas essayé de répondre à ces sollicitations très insistantes et je ne peux rien affirmer.

Au cas précis, l’industrie serait victime non pas tant de l’internet mais d’une utilisation de ses produits par un secteur illégal et souvent criminel.
Cela expliquerait, la chute des revenus du X, la hausse de la prostitution tous azimut.

Comme le X a toujours été en avance sur tous les autres secteurs sur le net, cela donne peut être un aperçu des développements ultérieurs possibles par exemple pour le cinéma. En l’Etat, une mort annoncée ou une étatisation ? Si le film devient un bien public pur avec une gratuité totale, alors seul l’État pourrait encore être susceptible de financer des productions ?
A quand un grand service public laïque unifié de la production X ?


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