Francis, agnotologue JL 5 mai 2010 22:14

Si l’on en croit un expert en la matière, Michel Santi par exemple, il suffirait à la Grèce de sortir de l’Euroland et de dévaluer sa monnaie, la drachme, pour que la faillite ne soit plus qu’un mauvais rêve.

De même, les Islandais ont-ils décidé de ne pas rembourser la dette : je ne vois pas que l’on puisse appeler ça une faillite, mais seulement de la légitime défense.

Les dirigeants qui acceptent la faillite de l’Etat dont ils sont les gestionnaires momentané sont coupable de crime de haute trahison.


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