A la lecture de ce deuxième volet, je me dis que votre père vous a transmis toute la joie qu’il éprouvait, à laquelle vous avez sans doute su ajouter ce petit complément d’âme individuel qui vous permet d’aborder l’existence et ses mystères avec une ouverture d’esprit qui me semble rare.
C’est un plaisir de vous lire.