Paradisial Paradisial 9 août 2010 15:20

Paul Villache vient de nous pondre là les preuves de sa bêtise les plus éclatantes, et aux vrais-cons de le suivre sur la pente. smiley

Une grande démystification s’impose.

Une nourriture halal c’est une nourriture qui ne contient pas d’alcool, qui ne contient pas de sang, qui ne contient pas de cochon, et aucun des dérivés de ces quatre éléments là. Sa source, sa production, sa préparation et sa commercialisation doivent également répondre à de l’étique pour être complètement considérée halal (y compris en matière de limitation des bénéfices qui devraient en être tirés / pas d’usure / pas de spéculation non plus) ; or, beaucoup sont les professionnels à négliger - hélas - ces aspects moraux là.

En sus de cela, une viande typiquement halal est une viande qui devrait être issue d’un animal qui a été abattu selon le rituel musulman, càd, issue d’un animal qui a été égorgé conscient et sur lequel a été prononcé la formule suivante : Bismi Allahi ar-Rahmani ar-Rahim / Au Nom de Dieu le Tout Clément le Très Miséricordieux, en guise de demande d’autorisation à Dieu d’ôter une telle vie qu’il a mise et créée pour notre bien et à notre service, et en guise de remerciement qu’Il ait mis à disposition entre nos mains une telle source d’alimentation.

Egorger l’animal à manger n’a rien d’un acte barbare : une fois les carotides tranchées, le sang s’arrête d’alimenter le cerveau en oxygène, ce qui fait tomber l’animal dans une anoxie instantanée et dans une perte immédiate de conscience ; en manque, le cerveau sollicitant un plus grand afflux en oxygène commande au coeur, à cause de cette détresse là, de pomper davantage de sang, qui s’éjecte dès lors davantage en dehors du corps de l’animal abattu. Par ce moyen, la viande de l’animal se retrouve épurée de son sang, de ses toxines (l’urée entre autres), des hormones encore proactives (comme l’adrénaline entre autres), et se retrouve partant débarrassée d’un grand terreau où peuvent progresser pas mal d’éléments pathogènes (qui peuvent déjà être dans le sang, ou s’y développer). Les réactions et contractions musculaires de la carcasse de l’animal peuvent elle aussi contribuer à cette action d’essorage.

La viande d’un animal égorgé conscient est plus propre à la consommation que toute autre viande préparée autrement.

L’électronarcose, elle, suivie par un égorgement, ne permet pas cette épuration de la carcasse de son sang, pour le simple fait que le coeur peut se retrouver paralysé, et surtout surtout parce que le cerveau ne commande plus au coeur de pomper brutalement du sang à l’extérieur, puisqu’il n’enclenchera plus de réaction neuromotrice à la destination de cet organe.

Je le répète, dès que les carotides sont coupées, l’animal tombe inconscient en anoxie ; malgré la brutalité de ses réactions (purement physiques, même si spectaculaires) il n’est plus conscient.

L’autre jour, sur Europe1, un diététicien, non musulman, laissait bel et bien comprendre que la viande saignée était plus propre à la consommation et plus diététique que celle qui ne l’était pas.

Quant à beaucoup d’ignorants je rappelle que beaucoup mangent de la viande Kasher sans s’en rendre compte, car chez les juifs la partie basse de l’animal est considérée comme non licite et est vendue dans les circuits classiques de la boucherie pour les autres goyim.

Un juif ne consomme que la moitié supérieure d’un animal abattu (allez savoir pourquoi !). Ne croyez pas alors que l’autre moitié serait jetée. C’est le boucher du goy qui l’achète, et c’est le goy qui la consomme. smiley smiley

L’entité sioniste est un grand exportateur de viande à destination de l’Europe. smiley


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