Hesprides Hesprides 15 septembre 2010 12:44

Article qui fait une synthèse d’autres articles parus dans les journaux algériens,et donc outre le fait de rapporter des informations qu’on ne voit pas partout il n’ajoute rien de concret.....on aurait aimer avoir une analyse du phénomène et des causes intrinsèques

On comprend ce silence quand on creuse un peu et qu’on se rende compte en fait que la religion loin de représenter le danger immédiat n’est en fait qu’un argument de plus qui fait son entrée fracassante dans l’argumentaire des despotes locaux.

ce qui se passe aujourd’hui en Algérie a déjà eu lieu en Égypte par exemple.

Pouvoir verouillé par quelques familles détenant les clefs, économiques et politiques du pays.
Aucune démocratie et encore moins de liberté d’expression ou d’opposition.

L’islam est donc le dernier recours des plus faibles pour se faire entendre,d’abord de manière démocratique qui est très tot tuée dans l’oeuf (on emprisonne les islamistes les plus pragmatiques) au profit des plus extremistes qui auront tot fait de prendr el chemin de la violence qui rappelle d’autres violences plus laiques en Europe (type extrême gauche).

Les pouvoirs corrompus en place subissent le feu croisé des terroristes d’un cote et de la pression de la communauté internationale qui finit par les user et leur faire risquer la perte de pouvoir.

devant cette peur et refusant le chemin des urnes ( cf se qui s’ets passé en algérie et puis plus recemment au maroc) ils abandonnent des pans entiers du pouvoir (education, television, mosquées, aides sociales....) aus islamistes pour se maintenir au pouvoir in extremis.

mais ce n’est pas un statut quo qui peut durer car les islamistes quand ils sont sincères ne peuvent vraiment agir sur le fond du probleme qui est la repartition des richesses et du pouvoir de manière juste et finissent par mimer les processus du pouvvoir en place.

l’islam devient alors (ne pas oublier que la majorite du peuple tient à la religion comme système de cohésion social) l’ultime argument sur le champ de bataille dans un course a qui mieux-mieux.

Ils continuent ainsi a nourrir un debat stérile sur la question religieuse ( port du voile, consommation alcool, feuilletons avec femmes denudées, question palestinienne, jeune du ramadan....) car ils ne peuvent s’affronter sur l’essentiel de la justice et de la répartition des richesses et pouvoirs sans clash sévère jusqu’au point de non retour ou l’un bouffe definitivement l’autre.

les situations pseudo conflictuelles dans les pays musulmans entre pouvoirs corrompus et courants islamistes ne sont que des statut quo tres fragiles ou l’islam est largement instrumentalisé par les uns comme par les autres.

Et comme partout c’ets le peuple qui est le dindon de la farce


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe