emile wolf 18 septembre 2010 15:46

Cette affaire a été jugée « au nom du peuple » n’en parlons plus !

Mais puisque vous justifiez, avec compréhension, l’acte de « légitime protection de la sociéte » du gendarme du fait de la dangerosité du malfaiteur. Sans doute ignorez-vous que celui-ci était menotté et avait les chevilles attachées (Le Figaro) dans le but de réduire celle-là.

En outre, la bonté de Monsieur Monchal était telle qu’il a laissé ce justiciable, seul pour fumer une gentille cigarette dans les couloirs de la gendarmerie, lieu à usage collectif où l’interdiction de fumer prévaut. Ce qui avait sans doute contraint le vaurien à ouvrir la fenêtre sans barreaux pour aérer l’immeuble et faire disparaître le mégot : Ce qui lui a permis dès que la minuterie a éteint la lumière de sauter d’une hauteur de 4,60 m et d’escalader la grille extérieure de 2 mètres pour se mettre au vert avec 3 balles dans le dos, après être grimpé sur un arbre, avant d’en descendre en chute libre et sans vie. Les gitans sont des acrobates. Cette affaire est d’une limpidité absolue. Votre conclusion aussi.

Bien entendu monsieur Monchal, en état de légitime défense n’a pas eu le temps de prévenir ses collègues avant de vider son chargeur dans le dos de cet agresseur présumé de petits enfants... Il a agit réglementairement après les sommations d’usage. Il devait tirer. Que les « anti.tabac » se rassurent la paquet de cigarettes de la victime a disparu. Ce paquet-là n’aura fait qu’une victime, le fumeur.

 


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