Qu’est-ce qu’il se passe, mon petit traroth, on ne veut pas discuter avec un « raciste » ?
Vous ne trouvez pas dans mes mots suffisamment de matière pour balancer vos petites saloperies ?
Allez, je crois que je vais arrêter de te parler parce que c’est une perte de temps.
Sur 10 commentaires, y’en a 8 qui sont expressément dirigés contre deux ou trois cibles par jour, toujours sur le même mode :
je prends un mot, une phrase et je balance une petite pique pour faire passer l’autre pour un salopard et, surtout, passer moi-même pour un mec irréprochable.
Mais dès qu’on creuse un peu, y’a rien.
Juste une façade, un mec creux qui se la joue.
Bye bye.