desmotscratie 8 novembre 2010 22:35

Excellent billet qui pose (enfin) le problème en des termes clairs et frontaux : si on ne se met pas en ordre de bataille on va périr bouffé par la mondialisation avec la complicité active de l’ennemei intérieur ici explicitement désigné ! Je poste ci-dessous un commentaire (n° 55) posté sur le site de Marianne au sujet de la visite chinoise en France (le lien avec ce billet apparait dans la seconde partie dudit commentaire) :

« Il est grand temps de dire clairement que Sarkozy n’a que faire de la France. Il faut le dire et le redire afin que les gens sachent à s’en tenir à ce propos. La France il s’en sert pour parvenir à ses fins personnelles. Il est prêt à lui faire subir toutes les avanies possibles afin de servir ses intérêts propres. Exemple : frayer avec des dictateurs et les recevoir en grandes pompes (le Lybien et le Chinois). Tant pis si il faut s’humilier p… Lire la suite Il est grand temps de dire clairement que Sarkozy n’a que faire de la France. Il faut le dire et le redire afin que les gens sachent à s’en tenir à ce propos. La France il s’en sert pour parvenir à ses fins personnelles. Il est prêt à lui faire subir toutes les avanies possibles afin de servir ses intérêts propres. Exemple : frayer avec des dictateurs et les recevoir en grandes pompes (le Lybien et le Chinois). Tant pis si il faut s’humilier pour décrocher des contrats pour ses amis qui l’ont mis en place et dont il doit conserver le soutien pour espérer se maintenir à son poste et continuer son oeuvre de pillage de la France, au sens premier et symbolique du terme ! Non seulement il n’a que faire de l’Etat dans lequel il rendra la France, mais d’une certaine façon il sait qu’il pourra compter sur la reconnaissance de personnages haut placés dans les affaires du monde si il accomplit cette oeuvre d’affaiblissement politique et symbolique de la France … et des Français ! Sarkozy est là pour vider la France de sa substance, pour la priver subrepticement de son âme… De Gaule pour sa part s’identifiait à la France et à son histoire. Il mettait sa grandeur personnelle au service de la grandeur de la France ! Qui le lui rendait bien il est vrai. Nous avons là les deux pôles de l’implication patriotique. En d’autres termes, Sarkozy gère la France comme un territoire occupé dont l’administration lui aurait été remise par l’occupant — et l’ennemi intérieur, à savoir la bande du Fouquet’s et non pas la bande de Tarnac — en faisant valider ses desseins par le processus électoral aux apparences conformes à la démocratie. »


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