Bonsoir Montagnais,
J’ai bien peur, hélas, que l’indignation soit réservée à quelques uns. On laisse les ploutocrates du monde entier faire main basse sur la ville, dans un néant artistique et culturel total, pendant que les « vrais gens » ne peuvent plus se loger et dorment parfois à même le trottoir.
Et pas un badigeon vengeur ne vient zébrer les panneaux publicitaires vantant sur les façades la construction de tel ou tel nouveau ghetto de riches.