biendeschoses 22 décembre 2010 22:03

Voilà. M. Villach atteint le sommet de son art, le nirvana de son orgueil, l’eden de sa fatuité : il pérore et vitupère avec des mines de chaisière ménopausée à seule fin d’avoir l’heureux loisir de se citer lui-même, transformant ses anciens pensums en références impérissables.

La boucle de ce ruban de Moebius est bouclée. L’information se mord la queue, l’auteur est la propre source de ses informations, il se commente lui-même, et son nombril qu’il scrute lui dit des choses admirables.


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