Il s’agit en fait d’un fascicule de 32 pages écris gros qui tient plus
de la conversation d’un bistrotier qui se voudrait salonard que de la
littérature.
Raison de plus pour ne pas l’attaquer bassement. Personne au monde ne mérite d’être lynché médiatiquement, sauf les puissants que les médias protègent.