Patrick Guillot Patrick Guillot 23 août 2011 15:02

Commentaire d’arrière-garde !

Par définition, les traces ADN permettent de confondre les vrais coupables. Mais l’absence de traces ne protège pas les innocents puisque la parole de l’accusatrice est considérée comme vérité révélée. Et comment pouvez-vous invoquer l’absence de traces quand elle porte plainte cinq, dix ou vingt ans plus tard ?

« les précautions à prendre », c’est quoi ? Se filmer tous les jours et toute la journée pour prouver qu’on n’a pas commis en tel lieu et à tel moment tel acte qui vous est reproché ?


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