François François 31 août 2011 14:15

Yves Ducourneau, membre de ReOpen911, ingénieur informaticien, le même ? smiley

http://www.youtube.com/watch?v=ZdEcyk5G80s

Ok, « Science et Vie » et « Science et Avenir » c’est de la merde. Et à part votre feuille photocopiée n°3 vous publiez où vos scientifiques et experts ? Ah, zut, vous n’en avez pas à ReOpen. smiley

Sur le site Bastiso http://www.bastison.net/&nbsp ; on peut lire

Italie du 4 au 6 avril pour le SEWC (Structural Engineers World Congress), un congrès réunissant, tous les 4 ans environ, les personnes faisant du calcul de structure à travers le monde. Une des particularités de ce congrès est d’accueillir à la fois des scientifiques et des ingénieur. Sont présentées les dernières avancées en matière de recherche, mais aussi des procédés innovants ou des réalisations excep-tionnelles. Il a notamment été exposé, en détail, les techniques utilisées pour l’érection des derniers 150 mètres de la tour Burj Khalifa (828 m de haut) en 2009 à Dubai.

 

Assez bizarrement, malgré les redoutables inégalables exceptionnelles inimitables inénarrables fines lames réunies par Richard Gage autour de lui, aucun truther n’est venu présenter quoi que ce soit lors de ces journées réunissant plus de 300 personnes spécialistes du domaine. Rien... Le vide... Le néant...

C’était pourtant une occasion UNIQUE de faire avancer la Science en matière de calcul de structures : des sessions étaient spécialement dédiées, entre autres, au comportement au feu des bâtiments, au calcul des immeubles de grande hauteur (IGH), à la sismique, à la dynamique des structure, etc.

Il est certain qu’à part amuser quelques spécialistes lors d’un dîner entre amis, l’armée mexicaine réunie par Richard Gage ne peut plus espérer grand chose. Mais le ridicule n’ayant jamais tué, ils auraient pu tenter... Caramba ! encore raté  !

 

Plaisanterie mise à part, ces sessions sur les IGH ou le calcul au feu étaient justement intéressantes par les références aux expertises déjà menées sur les tours du WTC. Toutes les dernières méthodes de calcul sont venues confirmer sans équivoque ces résultats, ce qui fait que les études du NIST sont désormais considérées comme un benchmark (un cas test) incontournable pour les nouveaux outils de calcul.

J’étais certes à ce congrès pour tout autre chose, mais cela m’a permis de vérifier que ce que j’avais pu avancer jusqu’ici sur ce site était plus que jamais considéré comme acquis dans la communauté.

 

Info 2 : le lendemain, 7 avril, j’étais invité pour une autre conférence, mais cette fois spécifiquement sur le 11-septembre, lors d’une journée spéciale ingénierie forensique à Paris. Les organisateurs m’avaient en effet demandé de faire le bilan des études menées aux Etats-Unis sur les attentats du 11-septembre 2001. Une présentation bien sûr beaucoup plus technique que ce que j’avais pu faire par ailleurs, puisque pour cette journée l’idée était surtout d’analyser comment le retour d’expérience pouvait s’opérer lors de telles catastrophes. Une culture qui a encore du mal à émerger en France.

 

Hélas, là non plus, pas de truther à l’horizon...

 

Pourtant, des personnes reconnues dans l’évaluation des situations critiques, ou l’expertise de défaillances, auraient pu leur apporter leurs lumières. Comme Jonhatan Wood, éminent spécialiste en Angleterre d’ingénierie forensique, ou Denys Breysse, président de l’AUGC et auteur d’ouvrages de référence sur l’estimation du risque en génie civil.

Je dois dire que j’ai été très honoré d’être invité à présenter un exposé en même temps que de telles personnalités du domaine.

Et les nazes, vous pouvez proposer un article dans les Annales du Bâtiment et des Travaux Publics". smiley

http://www.bastison.net/Graphique/Images1/Annales.jpg


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