Commentaire de gaijin
sur Le blues du journaliste citoyen
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« On vient ici comme au bistrot, on rencontre toujours les mêmes ventouses du comptoir »
c’est vrai pour moi vous êtes le mec assis au coin avec sa gitane maïs au bec
celui qui est déjà là quand j’arrive
et qui y est encore quand je part
a par critiquer ceux qui ne pensent pas comme vous vous apportez quoi ?