Commentaire de Dora-Rafaella
sur Edward Hopper, un colosse entre réalisme et abstraction
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Oui, vous avez tout dit.. l’ennui quoi. Et forcément, si on peint l’ennui, c’est qu’on est ennuyeux
dedans... élémentaire mon cher Watson. Mais vous n’avez pas répondu à ma question, comment faire pour remplacer l’ennui par la joie ? Vous avez une méthode ?