Commentaire de Dora-Rafaella
sur Edward Hopper, un colosse entre réalisme et abstraction


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Dora-Rafaella Dora-Rafaella 29 octobre 2012 20:05

Oui, vous avez tout dit.. l’ennui quoi. Et forcément, si on peint l’ennui, c’est qu’on est ennuyeux
dedans... élémentaire mon cher Watson. Mais vous n’avez pas répondu à ma question, comment faire pour remplacer l’ennui par la joie ? Vous avez une méthode ?


Voir ce commentaire dans son contexte