Commentaire de Parlez moi d’amour
sur Aide active à mourir pour des cas de non vie tel celui de notre fils
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Certains médecins peuvent prendre des mesures avec l’accord de la famille mais c’est en fonction de chaque soignant.
Effectivement, tout dépend du médecin : un proche en phase terminale de cancer avait demandé à ne pas être prolongé. Dans ce service hospitalier faisant office d’unité de soins palliatifs, le maximum était fait pour soulager la douleur tout en lui épargnant examens et soins inutiles. Le 15 août, jour férié, le toubib de remplacement veut absolument tenter quelque chose pour « sauver la situation » : grande angoisse du patient qui trouve déjà le temps bien long. Le temps venu, la morphine a permis une fin apaisée, l’équipe médicale s’occupant autant de l’entourage que du malade. Ceci dans un petit hôpital de province appelé à disparaître.
Personnellement je crains davantage la confrontation au corps médical que la maladie.