Commentaire de Lisa SION 2
sur Aide active à mourir pour des cas de non vie tel celui de notre fils
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On ne peut effectivement pas rester sans voix face à un tel témoignage. Mourir à vingt ans, c’est trop tôt, et lutter contre la mort explicite. Mais, on peut aussi s poser la question si le souffrant ne craint pas seulement de partir, mais plutôt d’abandonner les siens sur cette terre en dérive...