Commentaire de le cil anse
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contre exemple le cil anse 16 juin 2013 17:35

Oui, mes voix là en effet,
mais ne mets voile à rien,
n’omets rien de ce qu’il perçoit
et s’aperçoit au fur et à mesure,
de ce qu’il lui est dévoilé.

Qu’en dirait Candide quand il ne sait Candice ?
Mystique indice, indiscutable... Jolie fable, honorable...
Bien plus qu’une fable, un sens encensé, si délectable.

Qui êtes-vous, vous qui êtes si aimable ?


La tournure des mots, loin d’être démo c’est profitable,
sous la plume de Jack Mandon ne mentirait, m’en tirerais-je
une ficelle notable ? Une pièce puzzlesque d’une forme détournable,
face pilable, pile à façade au bal des Lazes.

Un polar nef soudain trace les dits

de Lady à l’art au base où pointe Jane, ta raison ballante Tarzan chuta.

Mais Liane aide haut ce cours, de liane en liane secrète un lien

vers l’arbre-histoire, une question de mémoire, tronquable.

Le cil anse caresse le tronc de l’arbre, il l’effeuille, il granule l’écorce,

Terre, est-ce très sage de croquer la forme ainsi sans calque ?

Gesticule en particules, élémentaire mon cher Jack, sonne m’en dont.

Qui parle ici d’un don, de marrons ? L’arbre est fruitier sans aucun doute,

d’où peurs abstraites se fondent et se diluent en piques sel.

Je vous tiens en respect, vous m’étonnez sans douter.

Un gravier donc vous posez sur le sentier, santé à vous.

Si tout vous savez, vous savez aussi que je sais que vous savez

ce que vous voulez bien que je sache, plus ce que je sais

que vous ne savez, moins ce que vous savez que je ne sais,

ainsi dont moins d’incidents sans incendie et le conte est plus sage,

dans le comté de Lord et Lady de Laze. Savez-vous que j’ai écrit mi-Lord

quand vous dictiez mille ordres ? Savez-vous plantez d’échoue mon cher ?

Voyez bien que tout ceci n’est qu’hommage, car il n’acquit aux mages.

Oui je sais que vous savez, après tout rien n’est âpre et tout est page.

Un loup durant tout ce chemin m’accompagnait, le saviez-vous ?

« Daddy » mythique plus que prismique, un livre unique,

un mode d’emploi souvenir d’enfance, survenu en pleine danse

au beau milieu de la valse, dans ce bal de Laze aux barres de l’interne net.

Monsieur, ravie est ma plume sous ce trait subtil, un pas de plus dense,

danse dans cette valse, l’honneur est à vous, je suis serve, et vous ?

Merci Jack, je m’accorde un écart, un fond de damne liesse, au bon bourg.

Rirons-nous d’elle, la colle ombre ? Quelle classe tout de même en l’état,

qu’elle classe en dessous dans l’étagère, l’âge erre sur mes tempes,

se trempe aux lignes sur un trampoline, c’est plus commode.

Je vous laisse, le temps de recourber le cil anse,

on se retrouve ailleurs, en d’autres cool heures,

avec le bon Doc, un ohm d’un flux anse.


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