Commentaire de spartacus
sur Mon voyage en Corée raconté à ma grand-mère
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Au moins l’auteur met en phase ses voyages avec ses idées, mais reste dans le déni et la mauvaise foix.
Les restaurants « haut de gamme » qu’on imagine vide de clients comme les rues de la capitale vides de véhicules.
Il occulte volontairement le culte de la personnalité, comme l’impossibilité de partir d’un groupe touristique pour dialoguer directement avec des tiers sans la présence d’un accompagnateur. En bon formaté, il n’a vu que ce qu’il voulait y voir sans l’ombre d’un esprit critique.