Il est vrai que certains nous disent d’aller nous indigner ailleurs, en syrie par exemple : 170 000 morts. 

Ils nous posent ainsi les données de l’indignation, telle qu’ils voudraient qu’elle fut : Corollaire au nombre de morts. 

« Circulez, y a rien à voir, allez vous indigner ailleurs ! »

En ce sens, effectivement, si l’on pousse la logique, il n’y aurait eu aucune raison de s’indigner,de l’holocauste : Le nombre effroyable de morts ne parvenant tout de même pas à celui du génocide américain. 

Mais là, attention, génocide pas d’appelation controlée. 

C’est comme pour le camembert, ils n’avaient pas encore pensé à l’époque faire valoir les droits. 

Pour moi, l’indignation n’est pas fragmentable : C’est la même qui me pousse à être toujours du coté des victimes, comme d’autres c’est vrai, sont toujours à coté des bourreaux. 

Enfin, surtout des intérets