Commentaire de Bovinus
sur L'écologie dénataliste, seule voie d'un développement raisonnable
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Vous venez de découvrir l’ « Essai sur le principe de population » ou quoi ? Remarquez, mieux vaut tard que jamais.
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Je vous cite :
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L’alignement des taux de natalité des catégories sociales défavorisées
sur ceux pratiqués par celles qui ne le sont pas, n’est en rien
comparable à des pratiques abortives ou pires.
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Les enfants sont le seul bien de ceux qui n’ont rien. Et maintenant, vous proposez en plus de les en priver ? Ils ne sont donc pas déjà assez pauvres ?
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Il ne manque en fait qu’une chose à ce merveilleux article - les moyens mis en œuvre afin de réaliser cette fameuse « dépopulation ». Que proposez-vous concrètement ? Je suis sûr que bien des gens ici seraient très intéressés de l’apprendre.
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Chaque jour, 220 à 250 000 êtres humains déferlent sur notre planète
pour s’ajouter à sa population, qui atteindra 9 milliards vers 2050 et
dépassera 11 milliards au début du prochain siècle. Par l’effet de la
structure de la société et du sort qui les fait naître ce qu’ils sont,
les pauvres qui représentent la grande majorité de ces nouveaux
arrivants vont s’ajouter à ceux qui surpeuplent déjà la base d’une
pyramide sociale atrophiée, dont le sommet s’élève inexorablement en
accentuant les écarts qui y règnent. Et la répartition – bon gré mal gré
– de ces surcroîts de population miséreuse, partout où cela peut
contribuer à les résorber, nourrit et accentue la pauvreté et les
inégalités, causes autant que conséquences de tous nos maux.
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Mon Dieu, mais quelle horreur ! Il va nous falloir employer les méthodes les plus radicales pour, euh, régler ce « problème ». Sinon, c’en est fini des vacances aux Seychelles, du ski, des 3 bagnoles par famille et des kiwis de Nouvelle-Zélande. Clair.