Commentaire de ouragan
sur Loup, Yellowstone, les défenseurs du loup sur une autre planète ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ouragan ouragan 29 avril 2015 19:11

@Kelimp
Voici la réponse que vous m’avez proposée, comme si j’étais demeuré.

« Je ne commenterai pas vos références, toutes orientées contre le loup.
En fait, ce que vous proposez, c’est l’éradication des prédateurs de notre pays. Par tous les moyens.
Ce que vous souhaitez, c’est une nature bien entretenue, sans biodiversité dérangeante.
Plus de loups, ni, bien sûr, d’ours, de lynx, de renards, deblaireaux, de belettes, de martres, de faucons, de vautours, ..... Bref, des paysages bien verts mais sans vie ! »


Citez moi un exemple ou je parle d’éradiquer quoique ce soit. 
Quand à la biodiversité, j’habite dans les 84% ou la biodiversité est la plus riche de notre pays et qui plus est grâce au pastoralisme ! attention, ma source n’est pas la buvette, ni PAULolivier pour qui le pastoralisme nuit à la biodiversité, ma source c’est UICN, CEMAGREF, UNESCO, INRA, LIFE NATURE, CNRS, CERPAM, NATURE ET EXPÉRIENCE, FAO, ONU, GRENELLE DE L’ENVIRONNEMENT, PARCS NATIONAUX......

Quand aux paysages sans vie c’est aussi lorsque je m’éloigne de mon lieu de vie que j’en aperçoit ! et c’est aussi pourquoi nous recevons beaucoup d’hôtes à la ferme qui repartent enchantés de ce qu’ils ont vu, mangé et appris !

 Alors mes certitudes, je les côtoie tout les jours et je compose avec elles et avec la nature préservée qui m’entoure.

« Selon un nouveau rapport publié (9 mars 2015) par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d’énormes avantages à l’humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte. »

Personne ne nie le bienfait des prédateurs dans les zones sauvages de pays à la densité de population faible, mais vouloir faire cohabiter les prédateurs dans les zones d’élevage des pays à la forte densité de population ne peut être compris que comme une magouille pour mettre nos terres au service de la finance. Surtout avec les certitudes de ceux qui ne subiront jamais les contraintes liées aux prédateurs ! 

En fait votre analyse du personnage est complètement à coté de la plaque, comme vos réflexion sur ce que vous voudriez imposer comme la vérité ! 


Voir ce commentaire dans son contexte