je suis anti-socialo radical, mais je l’aime bien, cette Myriam al Khomri, et je la trouve plutôt sympathique.

Ce qu’on lui reproche, essentiellement, c’est qu’elle n’a pas la fausse « compétence » des énarques qui débitent des flots de mensonges sans sourciller mais connaissent par coeur leurs fiches.

Et de la voir face au menteur et enfumeur professionnel Bourdin, ça me faisait mal au coeur.

C’est sans doute chez moi un reste d’amour inconditionnel des femmes dont je ne me guérirai jamais !

Mais ne voyez pas dans ma position un parti pris féministe. Par exemple, la Najat Belkacem, quoique femme et très gracieuse, est une ennemie féroce et déterminée de la France et de ses valeurs. Mais elle, elle n’est jamais attaquée par la meute.

Ariane, en joignant votre voix aux aboiements de la meute, vous avez fait une mauvaise action.

Je préfère les aboiements lointains dans la nuit profonde :

« un horizon d’aboiements de chiens », Federico Garcia Lorca, la femme adultère