Commentaire de Olivier Perriet
sur Fillon, moitié Laval, moitié Sarkozy ?


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Olivier Perriet Olivier Perriet 10 janvier 2017 17:25

Il n’y a pas forcément de contradiction, puisque c’est Séguin lui-même qui a théorisé cette évolution ; de mémoire il a dit « j’étais contre Maastricht, mais comme ça a été approuvé je fais avec ».

Sans forcément aller jusqu’à l’analyse d’E Todd (« Séguin a appris la trahison a toute une génération d’hommes politiques »), ériger Séguin en modèle de cohérence semble assez exagéré.


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