Commentaire de La Baudruche négrière patronale verdie
sur Macron, faire le plein avec du vide


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Episode 2 : L’OS EN MOUVEMENT DU PITHÉCANTHROPE Crassanel 
 
 
(Épisode 1 à la fin)
 

L’australo-piteux (un abo-souchien grand remplacé préhistorique) décida de perfectionner l’os du pithécanthrope Crassanel, et le tailla habilement en boomerang (homo habilis souchienis est évidement moins crétin que le Crassanel), retour automatique, plus pratique.
 
L’os devint ainsi culturel, c.a.d engendrement du monde de la liberté (ici celle du chasseur faignant) et le temps devint histoire, (au contraire du temps de l’animal qui est juste saisons où du Crassanel qui est juste soldes).
 
« L’esprit déterminé d’un peuple est dans le temps, celui du bobo gogocho dans l’auge » dira plus tard Hegel, le cerbère de l’ancien testament marxiste (rien que son nom fait aboiement et peur aux bonobobo verts).
 
Du « trouvé devant » à l’ « engendré ». Ce n’est que dans le monde travaillé que homo faber se libère (la digne praxis prolétaire contre le RU aumône du cochon gogocho). De même, la pure branlette de l’esprit mondain (par ex le droitdelhommisme vide du porcelet Flanby), c.a.d les « vertus » (multiples à l’instar des individus multiethniqués chers au Capital) ne changent pas la géopolitique du réel (par ex l’unique cause du peuple ... syrien). Pas d’effectivité.
 
Mais revenons à l’os du pithécanthrope Crassanel... Quand Don Quichotte s’en saisi, perfectionné en lance de joute, il se bat dans l’Histoire passée, il est le décalé du temps historique ; il est comique pour les temps nouveaux avec un honneur désuet (mais moins lâche). Sa praxis est obsolète (comme le bobo mondialiste gogocho maintenant). Il est le réactionnaire, il croit être le « conservateur » de l’os sacré, mais le ridiculise.
 
La culture de l’os est formation, en mouvement comme l’os lui-même. Aussi l’acculturation de Naïade Vagino Bécassine, la bonobobo collabobobeurette du Capital, veut acculturer la horde pour arrêter le mouvement du mouvement de l’os du pithécanthrope Crassanel (et non le mouvement lui-même qui est juste perfectionnement du taillage d’os comme vous aurez compris)
 
 
 
Episode 1 (pour les retardataires)

 
Crassanel, le pithécanthrope bonobobo, cherchait sa pitance (pas vegan encore) dans la savane. Il buta douloureusement sur un os de mammouth (du Sud) et de rage le lança au loin.
 
Ce fut le premier « objet en mouvement » hégélien de l’Histoire.
 
Par une autre contingence divine, l’os percuta un pauvre émeu qui s’envolait, et Crassanel peut bouffer et jouir... sans s’émouvoir encore du spécisme. L’os devint un esprit magique. La culture de la transmission de la magie de l’os naquit (orale car le Crassanel ne sait pas écrire). 
 
La culture est la dialectique de l’objet os et du sujet bonobobo, le Crassanel travaillât pour perfectionner son os et se rendit ainsi libre du tigre à dents de sabre (« Arbeit macht freï »). Mais le plus magique fut que le bonobobo Crassanel muta., et devint trans-pithécanthrope. Comment ?
 
Le bonobobo le plus fort, qui jetait au plus loin l’os pour tuer les oiseaux devait se tenir debout, et par la fameuse évolution, les Crassanel au bassin le plus étroit furent sélectionné (pas que le bassin d’étroit).
 
L’os en mouvement muta le gène du bonobobo pour en faire homo erectus, le premier homo faber. Des millions d’années. Puis l’os en mouvement devint La Machine codifiant le génome artificiel, se passant de la contingence de l’évolution.
 
C’est ainsi que naquit le Cyborg, d’un os « posé devant ».
 

Hegel


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