Commentaire de Christian Labrune
sur Oh monsieur Macron, que vous avez de grandes dents !


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Christian Labrune Christian Labrune 1er avril 2017 13:46

@jadevo
Je traversais tout à l’heure le marché de Belleville. Des crétins à la solde de Hamon distribuaient le « programme » de ce triste personnage. Je leur ai répondu : « no passaran ! ». Ca leur aura peut-être rappelé quelque chose. J’en dirais autant du « programme » de Hollande II. Les socialistes avaient aussi un très beau « programme » en 81, et il était même « commun ». Son application, durant deux ans, avant le virage libéral à 180°, aura été une belle catastrophe ! L’ennemi de Hollande Ier, c’était « la finance », faut-il vous le rappeler, et il avait aussi un très beau programme destiné à réduire le chômage et à réaliser la prospérité d’un pays dont la dette devient vertigineuse. Hollande II n’osera pas dire la même chose, il serait ridicule, mais il faut être aussi naïf pour croire aux « programmes » des uns et des autres que pour se fier aux publicités pour les lessives qui « lavent plus blanc ».
Il suffit d’écouter dix minutes un candidat pour être en mesure, intuitivement, de savoir ce que vaut le bonhomme, intellectuellement et moralement.
J’avais écrit à un copain qu’il était tout à fait exclu que je pusse voter pour un Fillon. Aux primaires, ça ne mangeait pas trop de pain et je l’aurai fait, non sans réticences, à cause de ses orientations en politique internationale. Je m’en mords les doigts. Je n’en vois désormais plus un seul dans la brochette de charlatans qui se présentent aux suffrages, qui ait la carrure qu’il faut pour devenir président de la République.
Ce sont des veaux, des larves, des traîtres.
Cette après-midi, une manifestation du BDS devrait avoir lieu à Châtelet. Des voix se sont élevées de toutes parts pour exiger l’interdiction de cette abjection antisémite, même celle de la maire de Paris, qui s’était pourtant déjà largement compromise du côté de l’islamisme. La préfecture de Paris (et donc le ministre de l’intérieur) est restée sourde à cette exigence élémentaire. Après les résolutions négationnistes de l’UNESCO, l’autorisation donnée à un ministre d’Erdogan de venir faire la promotion de l’islamo-nazisme dans une ville de l’est - ce que les Pays-Bas et l’Allemagne avaient refusé -, on peut bien dire qu’on est renvoyé à la politique de collaboration des années noires. Maintenant, si ça vous amuse, vous pouvez toujours chanter « Macron, nous voilà ! ». Mais vous ne tarderez pas à le payer très cher.

 


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