sleeping-zombie 14 mars 2012 23:12

Dans cette histoire, Atos est une arme. Non dénuée de responsabilité certes, mais faut pas croire que le gouvernement britannique a laissé toute latitude au prestataire de service pour définir ce qu’est un handicapé.
La plus grosse responsabilité en revient au gouvernement (ou chambre des lords, je sais plus trop comment ça marche au RU).
Atos n’a fait que répondre à un appel de marché. Si les donneurs d’ordres l’avaient voulu, le formulaire se composerait d’une unique question « Etes-vous handicapé ? » avec 2 cases (oui/non). Facile a produire, facile a remplir, facile a traiter (ceux qui cochent les 2 cases sont considérés comme « oui »).


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