Hervé Hum Hervé Hum 22 décembre 2013 20:53

Désolé de ne pas être d’accord avec vous. Dès lors où on sait que l’enjeu n’a rien à voir avec le bien commun mais seulement la défense de ses intérêts propres, tout votre raisonnement ne tient pas.

Les exemples que vous citez ne furent que la défense de son intérêt propre. Ce que vous présentez comme des intérêts commun.

Non, on ne peut pas parler de sacrifice d’un peuple pour le profit d’un autre, c’est une escroquerie intellectuelle.

Sinon c’est émettre l’idée que certains peuples ont moins de valeur que d’autres puisqu’on peut ainsi les sacrifier. Car si on prend la définition du mot sacrifice tel que vous l’entendez, il s’agit de sacrifier des faibles pour conforter le pouvoir des forts.

Mais alors, je peux dire que les nazis ont sacrifié les juifs, que les colons européens ont sacrifiés les amérindiens, etc.

Résultat, vous avez réussi à éliminer la notion de génocide, car ne reste plus que des sacrifiés.

Je vous le répète, allez donc dire cela aux sacrifiés, leur expliquer que c’était pour la bonne cause, la leur en plus et non la votre !

Une inversion des valeurs qu’on appelle aussi la novlangue.

Les victimes deviennent les bourreaux et les bourreaux les victimes !


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