Hervé Hum Hervé Hum 20 novembre 2015 22:31

@Garibaldi2

A y regarder d’un peu plus près, le principe du prêt structuré est une escroquerie où élu et banquier sont complice.

 Ce principe est celui du jeu de « hasard » et non de règles économiques... Structurées (taux fixe) !

Ce qui est structuré dans ces prêts, ce sont les règles du jeu de hasard, mais où le banquier ne perd pas vraiment, seul l’emprunter prend le risque de payer le prêteur plus que de raison, pas l’emprunteur de gagner plus que de raison. Le sens du jeu est donc de nature léonine !

Mais il y a trop de personnalités publiques, qu’elles soient locales ou nationales, sur le banc des accusés. Tout ce beau monde vote pour une sorte d’amnistie déguisée en règlement politique par le vote d’une loi passe devoir (tribunal et jugement), d’une affaire d’escroquerie financière arrivée sur la table du système judiciaire, qui ne pouvait absolument pas s’en dessaisir sans faire la preuve de sa soumission aux maîtres du pouvoir exécutif.

Bien sûr, la majorité clameront leur bonne foi et leur crédulité, c’est vrai pour beaucoup d’entre eux, mais voilà, les faits sont là et tirer les conséquences ne consiste pas à s’exonérer d’une repentance publique ou pour le moins, de démissionner de ses fonctions quand on ne veut pas être poursuivi pour ces faits. C’est évident !

Cette histoire est donc celle d’une association de malfaisants. Car ces prêts semblent bien avoir été conçus spécialement pour les « responsables » politiques des collectivités publiques, jouant sur les durées des mandats électoraux. Le système de prêt faisant qu’un élu pouvait espérer profiter de ce système pour afficher un bilan positif pour être au moins réélu une fois, avant de très certainement risquer de voir son bilan ; quand aux charges de la dette, virer à la catastrophe !


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