« un robot demeure une entité désincarnée, dont l’action ne relève pas de
la subjectivité humaine mais d’algorithmes, et de ce fait, peut
présenter une « logique comportementale » imprévisible bien
qu’apparemment logique. Qui n’a pas connu un banal clavier d’ordinateur
subitement encrassé ou bloqué par une fine particule à l’origine
incontrôlée se mettre en mode écriture automatique »
Une fine particule est complètement totalement indépendante des algorithmes du matériel. Cet exemple est plus que bancal.