@Daniel Roux

« - Le massacre accidentel, par bombardements aériens, fusillades, exécutions sommaires, en mai 1945, de 45 000 algériens, en Algérie,à Sétif. »

Il n’y a jamais eu un massacre de 45000 algériens à Sétif, vous seriez totalement incapable d’apporter la moindre début de commencement de preuve justifiant ce genre bobard historique.

Le 8 mai 45 il n’y avait pas de troupe en Algérie , la guerre vient de se terminer et toutes les troupes sont encore en Europe, ne reste en Algérie que quelques très rares et disséminés bataillons de tirailleurs sénégalais et algériens sous équipés et sous armés.

Le 8 mai 45 au sein de la population européenne pratiquement tous les hommes en état de faire la guerre étaient partis au front, jusqu’à 80% de certaines classes d’âge, du jamais vu. Ne restaient au sein de cette population européenne que les femmes, les enfants et les vieillards .

-C’est ce contexte que souhaite utiliser le ppa pour commettre un massacre de masse contre les populations européennes sans défense, massacre devant servir de signal à un soulèvement insurrectionnel régional prémisse à un processus devant mener à la proclamation de l’indépendance. Ce soulèvement n’eut pas lieu, la population ne suivit paslce mouvement et les insurgés restèrent isolés.

ce soulèvement préparé de longue date commence par un massacre de masse des populations européennes, à Sétif même, hommes, femmes, enfants, sont attaqués suppliciés de façons indicibles , violés , tués de façons horribles plus d’une centaines de ces civils européens désarmés, sans défenses seront ainsi massacrés.

Dans l’arrière pays les fermes tenus par les européens sont attaquées, cernées par des hommes armés, des barrages routiers filtrent les gens qui circulent les européens sont systématiquement arrêtés et massacrés, là aussi hommes, femmes, enfants y passent même un curé connaîtra le même sort.

La seule résistance possible fut le fait de la brigade de gendarmerie de Setif qui accueillis les rescapés.et les protégea .

Il fallut plus de deux jours pour que les tirailleurs sénégalais et algériens soient transportés sur place, quand ils arrivèrent le soulèvement avait cessé et les insurgés avaient fui et s’étaient fondus dans la population.

Il n’y eut donc jamais 75, 45, 35,25, ni 15000 victimes chiffres grotesques qui ne reposent sur strictement rien de tangibles.

Le préfet de Sétif et son fils Benmebarek ont menés une enquête sur cette affaire, la seule n’ayant jamais été réalisée qui démonte les affirmations fantaisistes des algériens qui cherchent à transfomer un échec en victoire ,

ehttp://etudescoloniales.canalblog.com/archives/2012/05/16/24260597.htmln&nbsp ;&nbsp ;