Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 2 janvier 2017 18:12

En effet, il n’y a plus de « petit vin ».

La production de pinard est une industrie comme une autre qui obéit aux mêmes techniques marketing :
- des experts chimistes baptisé « œnologues » (à ne pas confondre avec les « dégustateurs », chargés d’optimiser la production et la conservation du produit.
- des commerciaux chargés de démultiplier les ventes en vendant des produits frelatés comme le « Beaujolais nouveau » (boisson alcoolisée non mature ne méritant pas l’appellation de « vin ») dans le monde entier alors que le vignoble du beaujolais ne fait que 15 000 hectares et continue à produire des « Beaujolais » tout court
- une adaptation au « goût du consommateur » qui lui-même s’adapte à l’offre ce qui revient au problème de l’œuf et de la poule.

Dans tout ça, la gastronome n’y trouve plus son compte et aimerait retreouver le plaisir des « petits vins ».



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe