soi même 31 janvier 2017 20:53

@Jeussey de Sourcesûre, je ne pense pas que c’est une carte païenne comme semble suggérer Émile, je pense plus tôt à une sauve garde de document de l’antiquité tardive.

Surtout à l’époque les monastères était les lieux où était préserver le savoir antique qui avait échappé à la fureur des déstructurions du bas empires.

Il y a si la dates est juste 169 d’écart entre la première croisade 1095 et contemporaine avec la démière croissades-1291qui ouvre à la redécouverte du levant et annonce la cette transition vers la renaissance et cette carte en appel un autres événement en 1507, les moines du « Gymnase vosgien » réalisent, sous la direction du cartographe Martin Waldseemüller, un planisphère (Universalis Cosmographia ou « Cosmographie Universelle ») accompagné d’un livret de 52 pages, intitulé Cosmographiae Introductio (« Introduction à la Cosmographie »). Sur la carte figure donc un nouveau continent dessiné par les moines suivant les lettres de voyage de Vespucci qui, contrairement à ses collègues explorateurs, était persuadé d’avoir découvert un nouveau continent . Les descriptions du navigateur vont également amener les moines cartographes à reconsidérer la géographie telle qu’elle était envisagée depuis Ptolémée (dont le monde connu s’étendait de l’Atlantique à la Chine). Et c’est en hommage à Amerigo Vespucci qu’ils vont nommer le nouveau continent « America », comme expliqué dans le chapitre 9 de l’ouvrage : « A présent, ces (trois) parties (du monde : l’Europe, l’Asie et l’Afrique) ont été plus largement parcourues et une quatrième partie a été découverte par Amerigo Vespucci. Cette quatrième partie, je ne vois pas pourquoi quelqu’un empêcherait à juste titre qu’on l’appelle, du nom Amerigo de son découvreur, un homme à l’esprit très pénétrant, Amerige en tant que terre d’Amerigo, ou America, puisque l’Europe et l’Asie ont acquis leur nom de personnages féminins  ». Sur le planisphère, le nom apparaît sur la partie sud de l’Amérique, partie dont Vespucci a exploré les côtes. Mais une interrogation subsiste : comment Waldseemüller et ses moines sont-ils parvenus à un dessin « relativement » fidèle du continent ? A l’époque, aucun explorateur ne s’est enfoncé dans les terres et n’a vu l’Océan Pacifique, pourtant représenté !

Se nouveaux mystère illustre bien qu’il avait bien un savoir ésotérique qui aujourd’hui nous avons une faible connaissance de son étendue et qui montre bien que cette époque est tous sauf un obscurantisme du savoir. Il est juste diffèrent et souvent incompréhensible aujourd’hui.


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