C’est d’ailleurs son fils qui est l’avocat de Fillon pour échappe aux conséquences de l’information ouverte en plus pour trafic d’influence et dissimulation de patrimpone.

Son cabinet de conseil où il est seul pour encaisser des « gratifications » d’entreprises du CAC40.

C’est lui qui a bradé à tour de bras des pans entiers du secteur public, le plus rentable pour l’État depuis France-Télécom jusqu’aux autoroutes vendus une bouchée de pain à Vinci, en attendant de privatiser la Sécu au profit de son « client » Axa.

C’est lui qui a accordé aux investisseurs du Qatar l’exonération de l’impôt sur les plus-value.

De toutes façon son programme est le même que Macron, c’est le programme ultra-libéral qu’il avait commandé à Jacques Attali, avec Macron comme rapporteur.