de jeunes français, à 89% d’origine africaine, se signalent par l’extrême violence de leurs actes, lorsqu’ils sont en bande.
Le sociologue Yohan, après une étude statistique sérieuse, documentée, conduite sur de longues années, nous livre les résultats indubitables de ses investigations.
Ah, mâme Michu, c’était bien mieux avant !
Qu’on nous rendre nos bons vieux mafieux corses,grenoblois, marseillais, nos bonnes vieilles bandes de gangsters de souche, et leurs règlements de compte dans les clandés ; ça, ça avait d’la gueule !
Tout se perd, ma bonne dame !