lundi 29 juin 2009 - par
La grippe A/H1N1 sans répit estival
Pas de répit estival pour la pandémie. C’est ce que vient de déclarer Roselyne Bachelot au Parisien aujourd’hui.
« L’été est normalement moins favorable à la contamination par le virus mais, contrairement à ce que nous espérions, nous n’enregistrons pas, pour le moment, de répit estival » a notamment expliqué la ministre de la santé dans cet entretien accordé à la presse, le premier depuis le remaniement ministériel où elle a été conforté à son poste.
Alors que les scientifiques estimaient il y a peu que les effets de la grippe A/H1N1 pouvaient se calmer durant l’été pour mieux se réveiller à l’automne, « l’été peut être une période propice à la circulation accrue du virus » souligne la ministre qui recommande aux personnes malades « de reporter leur départ » en vacances. En ce qui concerne les centres de loisirs et les colonies de vacances, la ministre souligne que les « services de l’Etat seront très vigilants sur ces structures qui doivent disposer d’un lieu où il est possible d’isoler un malade ». Mais, ajoute t-elle, pas question de céder à la psychose et de proscrire ces lieux de vacances : « Cet été, ce sera aussi aux parents de rappeler les règles d’hygiène à leurs enfants.
Selon le bulletin épidémiologique du 26 juin de l’Institut de Veille sanitaire, l’épidémie continue de diffuser sur tous les continents (plus 67 000 cas) et 5 nouveaux pays ont signalé des cas. En France 239 cas sont confirmés (dont 234 en France métropolitaine, 2 en Polynésie française, 2 en Martinique et 1 à Saint-Martin), 172 importés et 45 cas n’ont pas voyagé et sont liés à des cas importés, 22 cas n’ont pas voyagé et font partie d’un épisode de cas groupés encore en cours d’investigation. 220 cas sont en cours d’investigation et 10 épisodes de cas groupés dont 3 sans lien identifié avec un voyage.
« L’été est normalement moins favorable à la contamination par le virus mais, contrairement à ce que nous espérions, nous n’enregistrons pas, pour le moment, de répit estival » a notamment expliqué la ministre de la santé dans cet entretien accordé à la presse, le premier depuis le remaniement ministériel où elle a été conforté à son poste.
Alors que les scientifiques estimaient il y a peu que les effets de la grippe A/H1N1 pouvaient se calmer durant l’été pour mieux se réveiller à l’automne, « l’été peut être une période propice à la circulation accrue du virus » souligne la ministre qui recommande aux personnes malades « de reporter leur départ » en vacances. En ce qui concerne les centres de loisirs et les colonies de vacances, la ministre souligne que les « services de l’Etat seront très vigilants sur ces structures qui doivent disposer d’un lieu où il est possible d’isoler un malade ». Mais, ajoute t-elle, pas question de céder à la psychose et de proscrire ces lieux de vacances : « Cet été, ce sera aussi aux parents de rappeler les règles d’hygiène à leurs enfants.
Selon le bulletin épidémiologique du 26 juin de l’Institut de Veille sanitaire, l’épidémie continue de diffuser sur tous les continents (plus 67 000 cas) et 5 nouveaux pays ont signalé des cas. En France 239 cas sont confirmés (dont 234 en France métropolitaine, 2 en Polynésie française, 2 en Martinique et 1 à Saint-Martin), 172 importés et 45 cas n’ont pas voyagé et sont liés à des cas importés, 22 cas n’ont pas voyagé et font partie d’un épisode de cas groupés encore en cours d’investigation. 220 cas sont en cours d’investigation et 10 épisodes de cas groupés dont 3 sans lien identifié avec un voyage.